Réduire, réutiliser, recycler.
J.D. Irving, Limited (JDI) continue de trouver des moyens de réduire et de réutiliser les déchets découlant de ses activités de production forestière et de faire bon usage de ses matières résiduelles au sein de ses activités et de la collectivité.
Installation de traitement pour la protection environnementale
Lake Utopia Paper a récemment apporté des améliorations environnementales d’une valeur de 28,8 millions $ à ses installations.
Sa nouvelle installation de traitement pour la protection environnementale transforme la matière organique contenue dans les eaux usées en biogaz renouvelable. Ce biogaz est ensuite transformé en vapeur, qui alimente l’usine en énergie. Lake Utopia Paper a enregistré une baisse de 23 % de ses émissions de gaz à effet de serre.
« Il s’agit d’une installation flambant neuve et à la fine pointe de la technologie qui soutiendra les activités de Lake Utopia Paper à long terme, confie Rick Wasson, directeur des opérations techniques. Elle apportera une certaine stabilité au système environnemental et nous aidera à veiller à toujours respecter et dépasser nos obligations en matière de conformité. »
Des résidus utilisés comme engrais
Depuis 2004, JDI composte tous les résidus de nature organique produits par Irving Pulp & Paper. Les matières recyclées sont utilisées par les agriculteurs. En faisant appel aux résidus de chaux et de cendre, les agriculteurs ont économisé plus de 4 millions $!
« Il s’agit d’un très bel exemple de ‘‘réduction, réutilisation, recyclage’’, confie Renée Morais, coordonnatrice environnementale chez JDI. Les déchets qui étaient autrefois destinés aux décharges sont maintenant réutilisés comme fertilisants dans la production agricole. »
Les cendres de biomasse d’Irving sont un produit agricole enregistré en vertu de la loi de l’Agence canadienne d’inspection des aliments.
Ces cendres sont des sous-produits des chaudières à biomasse utilisées par JDI à ses usines Irving Pulp & Paper de Saint John, Grand Lake Timber de Chipman et Scierie Grande Rivière de Saint Leonard.
Depuis le lancement du programme, plus de 100 000 tonnes de résidus ont été détournées des sites d’enfouissement et utilisées comme engrais.